• G550

    Présentation : En 1958, alors que l'aviation d'affaire en était à ses débuts, Gulfstream Aerospace apparaît et engendre une série de de jets à cour moyens et long rayons d'action au fil des décennies. le G550 en est un exemple et nous montre que construire, aujourd'hui, un jet ne se fait pas sans des réflexion et des études approfondies en terme de coûts et d'efficacité. Gulfstream semble avoir assimiler et appliquer très tôt ces paramètres.

     
    À première vue, le G550 est "haut sur pattes", long  (29,39 mètres) et possède une belle envergure ( 28,50 mètres), "c'est l'avion d'affaire ultime". Son autonomie de 6 750 miles  nautiques (12 500 km) à une vitesse de Mach 0,80 (soit environ 528,7 kt) est issue des améliorations portés sur l'appareil par les ingénieurs, ce qui fait de lui le plus économe des jets d'affaire de sa catégorie.
     
    Intérieur : La cabine du G550 est conçue entre confort et productivité, avec sa capacité maximum de 19 passagers, elle offre beaucoup d'espace pour une cabine de même dimension que les autres jets. On peut se déplacer aisément sans avoir à se baisser pour ne pas heurter le plafond et changer de sièges sans gêner les autres passagers. Les sept hublots ovales de chaque coté du fuselage constituent la signature de Gulfstream sur cet avion.
     
    Le cockpit du G550 dispose de la planche de bord "PlaneView" disposée en quatre écrans EFIS de 14 pouces qui ons de nommbreuses fonctions : EVS, commande de la cellule ou encore l'instrumentation des moteurs.

     

    l'EVS est une camera infrarouge qui permet de voir clairement l'environnemant extérieur même en cas de très faible visibilité ou dans la nuit.


    Cette vidéo vous montre l'efficacité et l'utilité de cette fonction dans le G550 avec l'EVS à gauche et sans l'EVS à droite...

    Article inspiré du dossier dans le magazine "Aviation International" n°101

     

    G550Introduction:In 1958, when the buisness aviation was in its infancy, Gulfstream Aerospace

    appearsand creates a series of jets of court resources and long range of action over the decades. The G550 is an example and shows that we build today, a jet is not done without thought and extensive studies in terms of cost and efficiency. Gulfstream appeared to assimilate and apply these settings very soon.
     
    At first glance, the G550 is "leggy" long (29.39 meters) and has a nice size (28.50 meters), "is the ultimate business jet". Autonomy of 6,750 nautical miles (12,500 km) at a speed of Mach 0.80 (about 528.7 kt) is the result of improvements on the device worn by engineers, which made ​​him the most economical business jets in its class.
     
    Interior: The cabin of the G550 is designed between comfort and productivity, with maximum capacity of 19 passengers, it offers plenty of space for a cabin of the same size as the other jets. You can move easily without having to stoop to avoid hitting the ceiling and change seats without disturbing other passengers. The seven oval portholes on each side of the fuselage are signing on Gulfstream aircraft.
     
    The cockpit of the G550 has the dashboard "PlaneView" EFIS screens arranged in four 14-inch ons nommbreuses functions: EVS, cell control or instrumentation engine.

    EVS is an infrared camera that can see clearly the environnemant outside even when very low visibility or at night.


    This video shows the effectiveness and usefulness of this feature in the G550 with the EVS left and right without the EVS ...

    Article based on the record in the magazine "Aviation International" No 101


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  • Dans la lignée des avions militaires.Au sortir de la seconde guerre mondiale, le transport aérien reprend, et les constructeurs proposent de nouveaux appareils, souvent extrapolés à partir de leurs avions cargos ou de leurs bombardiers militaires.Douglas développe les DC-4 et DC-6, mais Lockneed connaît le succès avec ses Constellation, Super Constellation et Starliner ( 60 à 95 sièges).Ces quadrimoteurs à piston se caractérisent par un profil évolutif du fuselage, des empennages à triple dérive et des innovations techniques, comme les commandes de vol assistées et un système de dégivrage des voilures pour affronter le mauvais temps.Ces propliners assurent les premières liasons Europe-Etats-Unis, avec au début une escale aux Açores ou a Terre-Neuve, avant que la capacité des réservoirs ne soit accrue.La fiabilité des moteurs en étoile n'est cependant pas parfaite, et il n'est pas rare qu'un vol se termine sur trois des quatres moteurs.

    Le dernier des propliners.Les avions de ligne à pistons ne vont pas avoir le temps de se développer, car l'ère de la réaction voit le jour avec le DeHavilland Comet et le Boeing 707, dont la vitesse, bien plus élevée réduit quasiment de moitié la durée des vols.Certains "Connies" sont ainsi ferraillés avant de finir leur carrière au sein d'une compagnie aérienne, ou ils trouvent d'autres opérateurs pour le transport du fret, en Afrique ou en Amérique du Sud, sans oublier des versions militaires pour le transport de troupes ou de détection aéroportée.Le réacteur a définitivement supplanté l'hélice.

    Caractéristiques du Lockneed Super Constellation
    Longueur 35.42 mètres
    Envergure 38.47 mètres
    Hauteur 7.54 mètres
    Surface Alaire 153.70 mètres²
    Masse à vide 36 200 kg
    Masse maximale 62 400 kg
    Vitesse 550 km/h
    Moteurs Wright R-3350 de 3250 ch

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     Dès que l’on prend l’avion, on s’expose à un certain risque en tant que pilote comme en tant que passager. Néanmoins, on est plus en sécurité dans un avion en vol à 10 000 mètres d’altitude que dans le taxi pour aller à l’aéroport. C’est pour cette raison qu’il est question de risque réel dans les domaines de l’aviation militaire, de voltige et d’essai, dans les domaines de l’aviation civile et générale, les risques réels dans ces domaines sont ceux qui concernent la santé et les capacités et aptitudes physiques à prendre l’avion.

     

     

    La passion que certains pilotes ont pour le vol leur permet d'accepter un certain risque lorsqu'ils s'envolent. Ces pilotes ot beaucoup de confiance en eux et de courage, ce qui est très important pour avoir de bonnes capacités intelelectuelles qui sont elles-mêmes déjà limités à cause des G subit par le corp et le cerveau du (des) pilote(s), ces G peuvent passer de -3 à 7 en quelques secondes.

     

    Les effets de ces G sont le plus souvent l’apparition d’un voile noire et d’un voile rouge dans la vue du pilote. Le voile noire est causé par les G positifs, il est provoqué par le manque de sang, et donc, le manque d’oxygénation dans la tête et le haut du corps, le sang étant poussé vers les jambes et le bas du corps du pilote, ce phénomène peut entrainer le perte de conscience et/ou la mort du pilote. Le voile rouge est par les G négatif, il est provoqué par l’excédent de sang dans la tête et le haut du corps, la pression sanguine étant trop forte ce phénomène peut entrainer la mort.

    Trop de confiance ?

    L’excès de confiance en soi peut aussi être fatal. Lorsque le pilote est en vol, il se sent comme « invincible », il est le maitre du monde, c’est un peu la sensation, cette sensation contribue  l’absence de peur, le pilote peut alors faire ce qu’il veut sans trop évaluer les risques. C’est dans cette mesure qu’un accident peut survenir tristement. Ceci nous fait nous rappeler que la priorité dans l’aviation est la sécurité, et dans la sécurité il y a la prise de risques et la conscience de prendre ces risques, sans cela, l’avion ne serait pas le moyen de transport le plus sur au monde. En clair, la confiance doit être présente mais pas trop, car elle pourrait couter la vie. 

     


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